Belle surprise en arrivant à Sainte-Anne (Martinique) ne pas confondre avec la ^même en Guadeloupe. La centre est animé à souhaits. Il y a autour des infrastructures propres et agréables ce qui nous change de notre village de pêcheurs. Enfin, il s’agit ici aussi d’un village mais qui vit avec du monde, un port, des restaurants, des marchands ambulants et des boutiques. Julie est contente. Elle aime les villages de pêcheurs mais quinze jours furent visiblement un maximum. Quelle joie de pouvoir enfin boire une bonne bière sur le port fréquenté avec le soleil qui se couche sur la baie.
Je vous rassure Sainte-Anne n’est pas Paris ni Budapest… seulement un peu plus de 4000 habitants. Pour ceux qui connaissent, c’est la moitié de Pibrac en somme.
Nous avons maintenant un bungalow à 800m du centre et de la plage. Baptisée Kararibleu, cette case créole toute en bois est en effet toute bleue et blanche avec tout le confort. Située dans un petit jardin, elle est cernée par des plantes tropicales et le tout est au milieu de propriétés quasi toutes avec piscines.
Nous avons maintenant un bungalow à 800m du centre et de la plage. Baptisée Kararibleu, cette case créole toute en bois est en effet toute bleue et blanche avec tout le confort. Située dans un petit jardin, elle est cernée par des plantes tropicales et le tout est au milieu de propriétés quasi toutes avec piscines.
Nous dormons à l’étage sur la mezzanine balayée par les alizés et également aérodrome international pour moustiques. Heureusement nous avons une moustiquaire. On se croirait dans le film Emmanuelle.
La case est ouverte aux vents car les fenêtres n’ont pas de carreaux mais sont flanquées simplement d’un ingénieux système de persiennes en bois que l’on peut fermer le soir pour s’isoler et couper le souffle frais des alizés.
Ainsi la climatisation reste muette la plupart du temps et nous avons l’impression, pour une fois, de collaborer à sauvegarder la planète. Ici on se découvre, par obligation, un peu écolos et on savoure notre conscience qui se purifie au contact de l’eau, du soleil et des vents.
Pour les quelques-uns qui suivent et qui m’ont demandé des éclaircissements sur les noix de coco, voilà ci-après comment cela se passe. D’abord, ramasser une noix de coco, ici celle glanée sur la plage:
Bien dégager la noix et la cogner contre un angle de mur pour qu’elle se brise (ce que j’ose appeler « un coup dans les noix! »):
Voilà c’est tout pour cette semaine. Nous avons de nombreuses plages à visiter et de longues marches à faire. Espérons que nous aurons le temps de taper un blog avant le 1er de l’an. En attendant, nous vous souhaitons un joyeux Noël avec des cadeaux chers et somptueux que ne manqueront pas de vous offrir vos conjoints respectifs. Ne baffrez pas trop, n’abusez pas des liquides jaunes avec des bulles, l’alcool et mauvais pour les artères. A bonne régalade et à bientôt.
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