Les jours se succèdent et les découvertes vont bon train. Une petite visite au musée de la banane avant de quitter Trois Rivières et curieusement ce ne sont pas les bananes et leurs histoires qui furent les plus intéressantes. Quoiqu’il y a bien quelques petites choses peu bananes banales telles que:
A nouveau c’est la nature incroyable de ces îles qui nous enchante à chaque instant et qui contraste avec l’insouciance dont fait preuve les habitants pour ce patrimoine exceptionnel. Heureusement quelques-uns entretiennent des jardins extraordinaires.
Ci-après quelques fruits qui sont comme des glands mais pas tout à fait de la même couleur :
Là, ce qu’ils appellent le « zizi de l’empereur » cela ne s’invente pas!
Ici, des spécimens qui relèguent nos géraniums et bégonias au rayon des horreurs:
Là, des potes (admirez le bon goût!) :
Et la végétation luxuriante avec ses fruits :
Plus loin une fleur (pas dure de la feuille) parmi les feuilles :
Et au hasard des chemins, des beautés plus incroyables les unes que les autres :
J’ai du mal à m’arrêter tant cette nature est époustouflante.
Nous avons eu la chance de connaître les parents d’un ami parisien qui est habilleur au Moulin Rouge(cela ne s’invente pas non plus !). Ces merveilleux hôtes nous ont reçu comme des princes et nous avons encore dans la bouche leur adorable réception et la succulente cuisine créole qui nous a été servie. Les humains sont beaux quand ils partagent... surtout quand c’est avec nous!
Grâce à eux, nous avons décampé de Trois Rivières. En effet, je refuse au maximum de louer systématiquement une voiture et le dimanche les bus ne circulent pas. Ils se sont proposés de nous véhicuer du Sud au Nord. Super sympa!
Nous sommes donc à présent dans le Nord de Basse Terre à Sainte Rose, toujours en Guadeloupe et ceci pour une semaine encore avant d’aller… mais, chut!, c’est un secret pour l’instant.
Le gîte est bien confortable à 50m de la mer et avec de quoi se tremper sans sel :
Moins de vent que dans le Sud mais les moustiques sont à nouveau là, prêts à nous croquer. Les maudits! Je me réconforte avec ce proverbe africain : « Si tu crois que tu es trop petit pour avoir un impact, passes une nuit en tête à tête avec un moustique. »
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